L'Église d'Équateur est un reflet fidèle de ce que la Pape Jean XXIII appelait « la parole vivante de la réalité ».
Bien avant l'ouverture du Concile Vatican II qui a fait de cette ouverture son défii et sa tâche,l 'Église d'Équateur avait déjà commencé à se mettre à l'écoute de la réalité en s'ouvrant aux Indiens, sûrement les plus pauvres parmi les pauvres de ce pays, n'ayant droit à aucune reconnaissance, ni à aucune « propriété », sur leur propre terre.